Sous le signe des MDD
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C’est l’histoire d’une marque, parmi les plus emblématiques de la grande conso. Synonyne à elle seule d’une catégorie, comme Nutella l’est à la pâte à tartiner au chocolat, Frigidaire au réfrigérateur ou Caddy au chariot de supermarché ! Pour les aficionados de l’apéro, un pastis c’est un Ricard. D’ailleurs, la réclame n’a-t-elle pas longtemps incité à l’exigence (“Un Ricard sinon rien”), histoire de reléguer au second plan MDD et autres challengers ? Quelques années durant, Ricard a ensuite tenté une communication moins frontale (“Sous le signe du soleil”) probablement pour ramener à l’anisé les fondus de whisky, vodkas ou encore liqueurs modernes. Peine perdue. Les amateurs délaissent le pastis (- 3 %/an) et boudent Ricard (- 4 %/an). D’où ce changement de cap en 2006. Faute de redresser le marché, Ricard tente désormais de sauver sa peau. Et la marque de revenir à ses fondamentaux : “Un Ricard un vrai”. Une nouvelle campagne… sous le signe des MDD.