Ah le chaînage des gencods ! J’ai ici (ou sur le terrain) à plusieurs reprises déploré l’à-peu près avec lequel le chaînage des gencods est géré. En apparence bénigne, cette approximation est une vraie source d’incompréhension-client. Comment deux produits strictement identiques peuvent-ils être proposés à deux prix différents ? Injustifiable. Et voilà que le web reproduit cette incongruité des magasins. Ici, un même produit, la vodka Smirnoff 70 cl, à deux prix différents : 11,63 euros pour l’un, 12,41 euros pour l’autre. 7 % d’écart. La solution ? Que les enseignes contraignent, bien davantage qu’elles ne le font, les marques à ne pas multiplier les gencods pour une même UB. J’entends d’ici les zélés défenseurs de la multiplication des gencods (certains m’appellent généralement en direct après chacune de mes sorties sur le sujet pour ne pas donner de mauvaises idées aux enseignes !) : “C’est l’esprit même du codage informatique que de pouvoir piloter le plus finement possible avec des gencods spécifiques”. Peut-être. Mais comme ce n’est pas “l’esprit du commerce”, je ne suis pas prêt de changer de position !