C’est un nouvel indicateur de l’étude PromoFlash* réalisée tous les trimestres conjointement par A3 Distrib et Editions Dauvers : l’indicateur de complexité. En clair, il s’agit de mesurer, sur l’alimentaire, la part des produits en promo accompagnés d’une « mécanique » (bon d’achat, lot virtuel, points, etc., mais hors « prix choc » dont on peut considérer qu’il s’agit du principe même de la promo). Le résultat ? Seul un produit sur quatre est « nu ». Donc plus compréhensible que les trois références sur quatre qui sont « habillées ». Pire : 17 % des produits présents sur prospectus sont porteurs de deux mécaniques (ou plus). Et, à ce jeu, c’est Carrefour qui fait la course en tête avec plus de 24 % des UB sur prospectus qui sont « polluées » par au moins deux mécaniques promo.
* l’étude PromoFlash est disponible sur abonnement et présente en une quarantaine de slides le bilan trimestriel des stratégies promo des enseignes. Pour recevoir un abstract gracieux, adressez-moi un simple mail en cliquant ici.
Il serait intéressant de savoir si la promo la plus simple génère plus de résultat ou non.
En général, c’est quand même faire compliqué pour quoi? on ne sait pas trop! ce que veulent les clients, ce sont de réelles opportunités et au petit jeu de l complexité, je suis curieux de connaître les résultats.