Une première carte postale de Sao Paulo où l’affichage des prix en non-alimentaire (et ce, quelle que soit l’enseigne) traduit le goût immodéré des Brésiliens pour l’achat à crédit, goût hérité des années de forte inflation. Le prix est quasiment toujours indiqué sous forme de mensualités. C’est en apparence moins douloureux et ça répond aussi à une historique pratique du commerce qui, pendant longtemps, a accepté que les clients payent en plusieurs chèques avec encaissement différé, y compris pour l’alimentaire !