Bon, hier, je vous évoquais l’impact des campagnes Cdiscount. Une dernière… tranche avec de quitter le sujet, avec cet e-mailing reçu hier. Un rappel : les soldes sont, chez Cdiscount, une “grande boucherie, “typo viande” à l’appui. Et comment inciter les clients à se dépêcher ? Leur dire qu’après il sera… trop tartare ! Je sais ce qu’en pensent certains… Mais que ceux-ci s’interrogent d’abord sur la “fraîcheur” de leur organisation. Bien sûr, cette “fraîcheur” peut parfois conduire border-line. Mais elle seule est la garante de l’audace, indispensable au commerce. Et pour parodier une réplique célèbre : les commerçants enthousiastes osent tout, c’est même à ça qu’on les reconnait.
“les commerçants enthousiastes osent tout, c’est même à ça qu’on les reconnait”
Cette maxime s’applique-t-elle aussi aux nouveaux packaging de la MDD Monop avec les jeux de mots “on a tous un côté fayot” sur la boite de haricots? Sans oubiler la phrase sur l’infusion verveine “l’infusion qui vous fait oublier que l’on ne vous a pas augmenté cette année?
A force de trop en faire les créas se prennent les pieds dans le tapis…
je fais précisément une différence entre l’enthousiasme commercial (cdiscount) et la créativité publicitaire (Monoprix)…
dans une société où la plupart tire une tronche comme si la fin du monde était proche, ça fait du bien de sourire…
Je ne trouve pas que la créa de Monop se prenne les pieds dans le tapis. Les visuels sont attirants et facilement repérables en linéaires. Les phrases différentes pour chaque produit sont sympas à découvrir et surfent sur la vague du décalé (Michel et Augustin…).
Ma préférée: celle des tomates pelées…