Lundi 18 juillet. Publication de l’étude trimestrielle PromoFlash, co-éditée par A3 Distrib et Editions Dauvers. L’enseignement majeur sur le T2 2011 réside dans l’évolution de la pression promotionelle en hypers/supers. Un rappel méthodologique pour ceux qui ne sont pas familiers de cet indice exclusif A3 Distrib/Editions Dauvers. La pression promotionnelle des enseignes est calculée en intégrant le nombre d’opérations promotionnelles, le nombre de références proposées sur les prospectus et le nombre de magasins qui suivent les opérations. Inconvénient de cet indice : il est très abstrait (le chiffre brut ne veut rien dire). Avantage : il permet de mesurer finement l’évolution de l’effort promo des enseignes depuis des années. A cet égard, 2011 promet déjà d’être un très grand cru. Les deux premiers trimestres de l’année se sont déjà soldés par une très forte haute de la pression promo, ce qui conforte la tendance entamée au T2 2010. A cette époque, existait l’idée selon laquelle la promo avait peut-être atteint un plafond. 2009 s’était en effet traduite par la première baisse historique de la pression promo (- 0,6 %) et le T1 2010 n’avait été que “modestement positif”. Voilà désormais qui est clair : côté promo, les enseignes en peuvent toujours plus !