En magasin, le risque de « trop en dire » est réel. C’est d’ailleurs souvent le travers des agences design (Carrefour Planet et, plus anciennement, Intermarché Mag 3 en témoignent). Pourquoi est-ce risque ? Parce que le magasin bouge, les assortiments aussi, alors que les écrits sont figés. Et quand aucun employé n’y prête attention (ce qui est souvent le cas), le bel écrit d’origine en devient ridicule. Retour chez Carrefour Planet pour l’illustrer. La gondole des boissons aux fruits plates (Oasis, Tropico, MDD) est sur-titrée « Les bulles, pour le plaisir ». Probablement parce qu’à l’origine y étaient placés les sodas. Le plus pertinent eût donc été de s’abstenir d’écrire. Car qui trop écrit finit toujours par raconter des conneries. Je m’arrête donc là 😉
tout comme le fait d’installer les grosses rotations en 1/2 pal et finalement avoir des packs posés à même la palette…quel beau rendu pour le client!
Sa nous rassure c’est bien du Carrefour !!!!!
L’écrit est une chose primordial sur un rayon.
Cela permet de donner de la visibilité sur le rayon.
Aprés, cela doit être suivi par les ELS et par les responsables de rayon.
Mais par contre, je suis d’accord avec vous que ce n’est pas le seul moyen. Il suffit de voir sur la maniére de travailler de simply market qui établit une code couleur pour chacun de ses rayons. Cela entraîne une visibilité accrue.