Le drive est sans aucun doute le format vedette de l’année. Aux pionniers Auchan (d’abord) et Leclerc (ensuite) se sont donc ajoutées la quasi-totalité des autres enseignes, Carrefour y compris qui aligne aujourd’hui plus de 30 drives après avoir longtemps hésité. Toutes enseignes confondues, environ 800 sites sont identifiés. Bref, un nouveau format émerge. Plus tout à fait off-line, mais pas complètement on-line. Et un nouveau format que je vous propose d’explorer ici-même pendant quelques jours. Tant sur les chiffres-clés du circuit que les enjeux induits. En fin de séquence, je vous proposerai d’ailleurs en téléchargement un DOSSIER GRANDE CONSO spécial Drive.
Premier sujet aujourd’hui : la réalité même des drives. Quel point commun entre les 10 pistes d’un Auchan drive, la “porte qui donne sur la réserve” (véridique) d’un Géant Casino et le point retrait à l’accueil d’un Super U ? Tous s’auto-proclament drive, mais le service rendu est objectivement très différent. Peut-être même pas vraiment comparable… Dans les faits, donc, il y a de mon point de vue moins de 300 “vrais” drives en France. Et donc environ 500 “faux” drive. Pour être moins vache, disons 300 Drives + et 500 Drives –…
on peut faire des critères. Ex: est ce que je croise les salariés poussant leur chariot en me rendant sur ma piste? est ce que je suis livré en temps et en heure? y a t il une queue de folie sur ma piste et rien sur une autre? m’appelle t on pas mon nom de famille? etc….
Travaillant dans un drive solo , j’ai hate de voir votre DOSSIER GRANDE CONSO
Je crois que le Drive par définition consiste à ce que le client ne sorte de son véhicule. Un peu comme le MacDo…
Si on considère cette définition, il n’y a pas beaucoup de Drive en France.