Vendredi dans Libé. La saucisse de Morteau fait de la retape. Pas très finement, il faut l’avouer. Sur le moment, je me rappelle cette question qui a fait la “une” de la presse jeudi à l’occasion d’un procès à Paris : les sex-toys sont-ils des objets pornographiques ? Ce qui interdirait, de fait, l’ouverture de love-stores nouvelle génération à moins de 200 mètres d’une école. Assumant connaître ces love-stores, je veux bien aider les juges dans leur délibération : il y a bien plus de vulgarité dans cette publicité (tirée à plus de 140 000 exemplaires dans un journal accessible à tous) que dans ces boutiques coquines. Et qu’on ne me reproche pas d’avoir vu dans cette pub ce qu’il n’y avait pas à voir…
Effectivement… Décalé. Néanmoins, le “mangerbouger.fr” en bas à droite ne laisse pas de doute sur la manière de s’en servir ! Il s’agit forcément d’un bonheur oral ! ^^ (lol… et ils vont s’en sortir avec ça ?)
Pas sur du tout que ce genre de publicité mette en valeur le produit et ses producteurs. Par contre évident qu’il y a deux poids deux mesures pour les institutionnels.
Franchement, quel intérêt de communiquer de la sorte pour vendre ce produit ? On me dira que ça casse les codes, mais c’est aussi utile à mon goût que de montrer une femme nue pour vendre un yaourt…
la vente de saucisses de morteau interdite à moins de 200 mètres d’une école ??
Et que dire du site internet…
…bloqué par code parental
Au moins ceci a le mérite d’en faire parler. Il me semble que c’est le but, donc paris gagnés.
@Jeff : Parler, non ça c’est déja pris par Mc Cain, c’est ceux qui en parle le plus qui en mange le moins…;-) En matière de politique alors peut-être dans le sens où “son art consiste plus à en faire dire qu’à en dire”