C’est une tradition journalistique solidement établie. Le sur-lendemain de Noël, la presse économique dresse le bilan (commercial) du réveillon. Ce matin donc, Le Figaro Eco et Les Echos s’y collent. Avec, sans surprise, les mêmes interlocuteurs et les mêmes informations. N’acceptent en effet de causer dans le poste que les groupements d’indépendants (Leclerc, Système U et Intermarché) ou presque. D’abord, parce qu’ils ont un bilan plutôt flatteur à présenter ; ensuite parce qu’ils ne sont pas cotés en bourse et moins soumis aux contraintes de la communication financière. La lecture de la presse du jour laisse donc entrevoir un… joyeux Noël. “Pas de Noël de crise dans les grandes surfaces alimentaires“, titrent ainsi Les Echos auquel répond “Les distributeurs sauvés par les achats de dernière minute” du Figaro. Dans l’attente des tendances Carrefour et Casino (qui, pour ce que j’en sais partiellement, sont franchement pas extatiques en non-al), je serai personnellement plus prudent. Sauf pour pronostiquer que le on-line est sans doute monté encore plus qu’on le n’attendait. Car c’est le principe des révolutions : d’abord, peu y croient. Ensuite, tout le monde suit mais sans avoir une réelle idée de la vitesse de déferlement. Laquelle est toujours supérieure aux attentes.
Excellent choice. The oianrgil choice to respect the culture of a country is a difficult one, but credible if the country is honest and forthright. China apparently believes that any means to an end is justifiable including lying and stealing.Google should be congratulated on their oianrgil decision to respect the culture of a country and congratulated again on changing the rules in the face of dishonesty and criminal behavior. I support your decisions.
Please teach the rest of these internet hooligans how to write and research!