Faites attention : dans tous les hypers actuellement, les opérations jardin. Sacs de terreau à profusion et barquettes de plantes annuelles ont envahi les rayons. Dans les derniers jours des opérations, jetez un coup d’œil à l’état des barquettes. Trop souvent pitoyable, cette image (prise dans un hyper dont je tairais le nom par charité) en témoigne. Par rapport aux circuits spécialisés, par principe plus légitimes, l’hyper doit plus que jamais jouer la carte du prix pour justifier de sa proposition commerciale : ces barquettes de 10 godets de géranium à 4,50 € sont sans conteste “dans le match”. Au moins en théorie. Car, en pratique, leur état les rend “hors-jeu”. Ce qui rappelle que le prix n’est jamais que le second critère d’achat, après la conformité du produit aux attentes (minimales) du client. C’est ainsi qu’une salade doit être fraîche ou qu’une barquette de géranium doit être arrosée (ou jetée) ! Ca va sans dire ? J’ai assez d’observations en magasins pour me convaincre qu’il est utile de le rappeler.
À la une
Les employés BLS ont la plupart du temps d’autres rayons à tenir, et leur nombre de plus en plus restreint les oblige à négliger certaines tâches pour pouvoir remplir leurs rayons du mieux qu’ils peuvent.
D’autre part, en hyper ce ne sont pas des spécialistes car ils peuvent remplir successivement la papeterie, les casseroles, les jouets, la jardinerie, etc. Très souvent, d’un rayon rempli on passe à un autre, alors que les plantes nécessitent un soin au moins quotidien. Ce n’est pas dans leur culture de travail.
Enfin, les employés F&L sont plus à même de remplir ce rôle d’entretien du produit car c’est une des bases de leur tâche.
Mais on continue à voir des plantes ou des fleurs vendues simultanément dans ces deux rayons différents. C’est absurde et voilà ce qui arrive…
Je rejoint ce qui est dis plus haut , mais c est juste de la logique de ne pas mettre n importe quoi en rayon ….
Au delà du fait que oui…un minimum de sens de l’observation, de sens commercial …de bon sens quoi…cela reflète de plus en plus souvent, toutes enseignes confondues, la course à la polyvalence poussée à l’extrême et au manque de moyens humains.
Je suis d’accord avec les 3 commentaires ci-dessus mais arrêtons de mettre tout sur le dos des employés, qui, il est vrai, peuvent être fautifs mais que devrions nous dire des responsables qui n’ont certainement pas fait le tour des rayons…