Aller-retour express hier soir à Londres pour parler drive à une délégation du second distributeur japonais, Aeon, de passage en Europe (dans la délégation, le directeur marketing et le CEO des activités on-line). Ils avaient forcément entendu parler du drive et du fort développement de ce nouveau format de vente en France. Les chiffres que je leur ai présentés les ont étourdis sur la vitesse du phénomène. Second étonnement (vu du Japon bien sûr) : que les Français commandent en ligne mais n’aillent pas au bout de la logique en se faisant livrer à domicile, surtout pour les “encombrants”. Là, j’ai dû leur rappeler la prégnance du prix sur le marché français et,dès lors, le côté rédhibitoire du coût de livraison. Imaginez leur tête quand ils ont appris que le pionnier de ce métier (Télémarket) était en redressement judiciaire depuis mardi alors qu’ils pensaient le marché de la livraison à domicile florissant ! Plus tard dans la conversation (hors sujet drive donc), ils sont littéralement de la chaise lorsque je leur ai montré le nombre de prospectus que les enseignes imprimaient et diffusaient. Eux qui ont au moins 10 ans d’avance sur le digital…
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