Suite de la série de posts sur le drive (désolé pour ceux qui s’y intéressent peu…). Aujourd’hui, une question souvent posée : la place du frais “trad” dans les paniers ? Et la réponse de Nielsen-Homescan, pour le compte de Mag Drive (voir ici). Le frais trad pèse près de 18 % du panier alimentaire en hyper mais moins de 3 % en drive. Attention néanmoins aux analyses trop rapides. Si le trad est marginalisé en drive (l’offre ? la demande ? les deux ?), les fruits et légumes ressortent nettement du lot : ils pèsent 3/4 du panier trad en drive. Certes, selon Nielsen, tous les shoppers drive ne sont pas acheteurs de fruits et légumes (55 % vs 85 % en hyper). Reste que ceux qui achètent en drive ont un comportement d’achat proche des clients hypers avec un ticket moyen quasi-identique et même une présence plus fréquente dans les paniers. Conclusion : sur le trad, l’enjeu n°1 des drives est de faire “essayer” les fruits et légumes car, manifestement, le potentiel est là !
Bonjour,
La question reste ouverte, comment maintenir une fréquentation des magasins si le drive prend une part d’importance.
La solution de renforcer la présence et la qualité des produits frais semblait être une réponse, le cas du FL est cependant préoccupant, pour ceux qui investissent lourdement sur des zones marchés par exemple. La rentabilité des points de ventes va devenir un vrai problème, la course au prix, la baisse des effectifs, des surfaces avec des rentabilités attaquées par le e-commerce, les investissements de plus en plus rares dans l’équipement…Le modèle est là aussi à revoir. Puissiez-vous nous apporter une lumière qui aidera les distributeurs à faire les bons choix.
wow, como dije en un comentario anotrier, me sorprende su rapidez. Muchas gracias por el primer nfamero del nuevo multiverso, ojale1 llene mis expectativas que le tengo muchas ganas. Saludos.
Even if we all buy your point, Anirudya, as long as there will be poverty, elpioxtation that goes on uncovered in the pages of our dailies, there will be short films and they shall continue to be sold. So films like these are wake up calls to you me and our societys conscience keepers to make sure that there is no poverty or shameful elpioxtation to sell anymore. After doing that we can all come to a place and bash up Danny Boyle if he chooses to still sell ugly side of India. My own views on Slumdog hae changed after long and hard introspection. I dislike the screenplay and the structure of it, while the underlying spirit seems to be a tribute to Indians who succeed in spite of all factors we face to make us fail.I guess we have to grow up and own up our other side and stop talking about 3000 year old culture and see what we are in 2009.This pushing things under our carpet syndrome has made our society too dangerous for young kids, women and other sections too weak and uninformed to protect themselves. We will have to treat the films like these as our warning bells, the vision of world is now tightly on India what is India going to do to itself and its people are huge questions facing us.If not Danny, some one else is surely going to make a movie on things in India and they will not be just picture post cards on temples and Taj Mahal anymore. As a first step, our national news papers should put things like what is covered in this short film in the first page as main headline instead of political horse trading and alliance building.If we all keep our focus on issues like these, then such atrocities will come down and we can expect everyone to do a yashraj film that will sell mustard fields of punjab to westerners.