C’est donc parti : Futebol pendant quatre semaines ! Et une évidence sociale qui s’impose… Mieux vaudrait pour le Brésil que son équipe de football évite l’affront d’une élimination prématurée. Faute de quoi, la vague contestaire pourrait rapidement (re)prendre le pas sur le peu de ferveur. L’économie en pâtir. Et la consommation en souffrir. Donc, si vous me suivez, les premiers supporters de l’équipe brésilienne sont les patrons de Carrefour et Casino, les deux leaders brésiliens du commerce. Pour une fois que leurs intérêts respectifs convergent, ça méritait bien un post 😉