Coupe du Monde, suite. Plus sérieusement, Nielsen a comparé l’indice de consommation de trois catégories “sensibles” dès lors que le mâle s’avachit devant son poste de télé, si possible “en réunion” : bières, soft-drinks et chips. Et croyez-le ou pas (ou scrutez attentivement l’infographie de Nielsen), le résultat sportif n’a visiblement aucun effet. Que la France parvienne en finale (2006) ou reste dans le bus (2010), le niveau de consommation est proche. Donc, au moins sur ce point, pas de pression inutile sur les joueurs. La santé des marchés PGC ne dépend pas vraiment d’eux !