Autre info extraite du programme des Ateliers du Drive (Linéaires/Editions Dauvers) organisés la semaine dernière : la saisonnalité des ventes. Trois enseignements dans ce graph. 1) D’abord, la part de marché du circuit n’a pas progressé en juin comme cela avait été le cas les deux exercices précédents (les progressions se mesuraient certes en dixièmes de point mais étaient néanmoins significatives selon IRI grâce à la méthode Census). 2) Ensuite, l’été est bien une période plus-que-creuse pour le drive. La part de marché baisse en effet de 30 à 40 %. 3) Enfin, la fin d’année est également toujours très « drivephobe » ! Exemple en 2013/2014… PDM en décembre : 2,4 % ; en janvier : 2,7 %. + 0,3 pt sur une seule période ! Voilà qui traduit bien une modification de comportement et qui illustre que le drive est bien davantage un circuit utilitariste qu’enchanteur : l’implication dans les repas en décembre redonne aux clients le goût des « vrais » magasins. Ceux où l’on peut voir, sentir, apprécier, etc. Bref, là où l’expérience d’achat a une vraie valeur !