Les comparateurs de prix sont régulièrement mis en cause comme étant à l’origine de la guerre des prix entre enseignes (et avec leur corollaire un niveau de pression historique sur les fournisseurs). Il s’agit évidemment d’une vision bien simpliste du jeu concurrentiel entre enseignes. Car les racines de la guerre des prix actuelle sont bien plus profondes que ne le pensent certains… Explications en 2 slides.
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Suite de cette semaine spéciale prix en milieu d’après-midi avec la publication de l’indice DISTRI PRIX Octobre.
Bonne synthèse, tout est dit. Intéressant!
Bien simpliste en effet Olivier.
Mais quand on veut se débarrasser de son chien, on l’accuse d’avoir la rage, parce qu’il est toujours beaucoup plus confortable de désigner un tiers responsable plutôt que de s’interroger sur ses habitudes de fonctionnement…
Les comparateurs comparent.
Bon, jusque là, ça se tient.
Ils ne fixent pas les objectifs de marge. Ils ne font pas les prix. Ils les transcrivent.
Il a d’ailleurs toujours été d’usage de se comparer. En mode B2B. Je t’achète un relevé de prix…
Et de s’annoncer moins cher que son voisin en écritures rouge sur aplats jaunes au dessus des linéaires.
En quoi la transparence au niveau B2C serait-elle plus préjudiciable ?
Quand c’est flou, il y a un loup, disait l’autre 😉
Maintenant, il est vrai qu’un simple comparateur ne comparant que le prix me fera toujours penser au simple acheteur n’achetant… que du prix.
Les deux métiers auraient grandement à gagner à une approche qualité/prix, ou même, encore plus en phase avec les attentes conso, une approche valeurs/coût.
C’est en tous cas cette orientation optimisation affinitaire que nous avons privilégié en pur mode B2C j’entends 😉
Bonne journée,
TF