Passage à Carcassonne vendredi (ceux qui suivent mon twitter @Dauvers70 comprendront, c’était de la plus haute importance !). Et immersion dans le commerce local… Notamment dans cette rue du centre-ville où, telle Astérix face aux Romains, Véronique résiste, au-delà même de l’imaginable. En quelques lignes, 50 ans d’histoire : ouverte par le père de ladite Véronique en 1962, la parfumerie a d’abord vu débarquer Marie-Jeanne Godard (transformé depuis en Sephora), puis Nocibé et enfin Beauty Success. Ne manque que Marionnaud pour que la panoplie d’enseignes soit complète ! Sans compter que, juste en face de Véronique, un Monoprix “fait plutôt bien le job” sur le rayon parf’. Autant dire que la concurrence est rude ! Mais Véronique résiste, notamment grâce à ses deux esthéticiennes qui assurent dépoilage, gommages et modelages à l’étage. Le plus surprenant dans l’histoire ? Sa crainte qu’un jour Sephora soit tenté de déménager en périphérie ! “Je préfère de loin que Sephora soit juste à côté de moi. Au moins ça draine du monde dans la rue“, m’explique-t-elle. Véronique a sans doute moins de potentiel que ses concurrents, elle n’en a pas moins le bon sens commerçant. Le trafic, le trafic, le trafic !
Elle a amplement raison. Il suffit de voir dans d’autres agglomérations (Rennes, Nantes, Brest ou Quimper), Lorsque les mêmes enseignes sont présentes en périphérie que en centre ville pourquoi continuer à aller au centre, si peut-être pour les expos du voyage à Nantes par contre pour Quimper qui supprime sont centre d’art contemporain là je ne vois pas 😉
Merci pour votre élogieux article et votre soutien
sincèrement Véronique
Merci pour cet élogieux article et votre soutien
Sincèrement Veronique
Quand je vais à Carcassonne et que je souhaite acquérir un bon parfum exclusif, rare d’une maison qui ne se trouve pas dans les grandes enseignes, c’est chez Véronique que je vais.
Accueil et conseils de qualités, gentillesse, tout est bien ! Là, au moins, je sais qu’on ne me vendra pas le dernier Dolce & Gabana à la mode !