C’est, dit-on, l’un des freins au développement du e-commerce alimentaire : confier ses achats alimentaires à des tiers (en l’occurrence des préparateurs) avec la crainte de recevoir des produits que l’on n’aurait soi même pas achetés. Une crainte bien plus importante (et c’est logique) pour les produits frais que pour l’épicerie. C’est précisément ce qui rend savoureux la campagne de communication d’Instacart* actuellement aux États-Unis. Via une question assez légitime “êtes-vous capable de choisir les fraises les plus délicieuses ou la pastèque la plus juteuse ?”, Instacart suggère que ses shoppers (les préparateurs) en sont finalement davantage capables car c’est leur métier. Pas bête !
* Instacart est une plateforme d’achat, intermédiaire entre les clients et les enseignes. Un “Uber” alimentaire que j’ai décortiqué dans un pas-à-pas ici.