Passage récent dans le dernier Biocoop ouvert à Paris, « Le retour à la terre » (pour ceux qui l’ignorent, les Biocoop sont « sous-titrés », ce qui permet de les distinguer). Comme toujours, une forte dose de militantisme. En témoigne cette promesse d’être le premier magasin parisien bio sans huile de palme (voir ci-dessous). Mais le plus troublant est sans doute cette interpellation sur le prix de l’eau. « Bien commun de l’humanité, l’eau n’a pas de prix ». Pas faux. Mais la gourde militante (vide !) a bien un prix, elle. 5,17 €. Pas donnée-donnée. Et si l’opportunisme (commercial) avait pris le pas sur le militantisme… ?
5€ sur cette petite bouteille sont destinés à la fondation France Libertés. Pour en savoir plus :
http://www.france-libertes.org
Ou comment mettre le commerce au service de la protection de notre planète et pas seulement au profit de son chiffre d’affaire.
Concept trop éloigné de vos valeurs M DAUVERS pour que cela vous soit concevable ?
@JB Pas de prob pour “mettre le commerce au service de…”, mais encore faut-il le dire au conso. Ce qui n’est pas le cas ici
Olivier
Pour cela il faut s’informer M. Dauvers, ou tout au moins écrire ses articles sans préjugés. En tant que consommateur averti, je vous conseille de beaucoup plus vous intéresser à ce que propose Satoriz et surtout Biocoop.
@Raphaël Vous remarquerez que mon point de vue est très souvent ici “vu du client”. Avec donc les infos que l’on donne au client. Ici rien. Nada.