Mon p’tit doigt l’avait annoncé il y a déjà quelques semaines sur mon fil Twitter (@Dauvers70)… C’est désormais une réalité. Un premier Leclerc se lance sur le marché de l’occasion. Et c’est Roques sur Garonne, près de Toulouse, là où l’histoire du drive a démarré pour l’enseigne, c’était en 2007. Comme toujours, sur ce marché, il faut acheter avant de vendre. Et acheter un stock suffisamment conséquent pour être attractif ensuite pour la revente. Voilà pourquoi seule la première phase d’achat est pour l’heure visible, depuis samedi, dans le local SAV de l’hyper, installé dans le parking. Prochaine étape, d’ici à mon avis un mois ou deux (le fameux laps de temps nécessaire pour constituer un stock), un espace dans l’hyper proprement dit, probablement au cœur du non-al.
Sur le fond, Pascal Payraudeau (c’est l’adhérent local) a tout bon. Je l’ai souvent dit et écrit : toutes les enseignes opérant sur les marchés d’équipement seront tôt ou tard contraintes de s’intéresser à la seconde vie. Essentiellement car ça correspond à deux comportements d’achat bien structurés aujourd’hui (et que le succès du Bon Coin démontre) : 1/ nombre de consommateurs cherchent à monétiser des biens dont ils n’ont plus l’usage pour en réinvestir le produit de la vente dans leur propre consommation ; 2/ et une part au moins aussi importante cherchent à abaisser la valeur d’achat de produits qui les tentent mais pour lesquels la valeur du neuf est trop élevée (ou non justifiée à leurs yeux). Et faute d’organiser la seconde vie, les enseignes passent à côté d’intentions d’achats. Inacceptable aujourd’hui à l’heure ou quasiment tous les hypers de France sont en décroissance en non-al. Au moins, avec cette démarche, Leclerc Roques génèrera du chiffre d’affaires additionnel (avec une inévitable part de cannabalisation mais il faut l’accepter à l’avance) et, surtout, du trafic. Car, finalement, c’est bien de l’absence de trafic en non-al dont souffrent tous les hypers. Il suffit de se “balader” en magasins pour s’en convaincre. Donc nul besoin d’être grand clerc pour imaginer que nombre de Leclerc vont suivre. J’mets mon billet sur la table !
Et la suite ?
Des corners “Le bon coin” dans une enseigne qui aura senti malin de trouver un accord avec le site pour développer la marque ? Dans la suite “logique” des sites qui vont vers le off Line?
Pourquoi pas?
J’ai trouvé un nom pour ce nouveau concept: « «cash converters » ??
bjr achat d une visseuse bosh 14.5v le samedi 4 aout au prix de 100€ sur comme neuve mais une vrais merde je ne peut m en servir elle na aucune force je viens de leurs ramener le gas me dis dis que son chef lui dis que si elle marche il ne peut rien faire les accus se vide d un seul et coup plus de jus garanti 6 moi marquer sur le ticket de caisse alors que le vendeur a l étage en magasin m avais 1 ans bref Mr leclerc ma assez vu dans ces magasin si c est pour revendre de machine qu on ne peut pas utilisé vaut mieux encore leboncoin la on peut essayer ce que l on achète je la range sur l étagère et voila comment perdre 100 euros chez leclerc