Passage à Englos. C’est l’un des hypers laboratoires d’Auchan qu’il faut donc visiter avec la régularité d’un métronome pour comprendre (sans nécessairement être plus informé que ça !) ce que fait ou veut faire l’enseigne. Dernier test en date, en cours d’implantation, l’univers produits de la mer qui montre, en creux, comment Auchan entend réinventer l’expérience d’achat : par la révision de l’offre, par le merchandising et par l’ILV.
Dans ce test, le plus visible (mais le moins duplicable sur d’autres catégories) est le déplacement du rayon conserves de poissons vers l’univers marée, en proximité de la saurisserie. Présentée en “corner”, les conserves de poissons ont autrement plus de “gueule”. Mais, surtout, le rayon est nettement plus lisible car… l’offre a été resserrée. C’est visiblement le second étage de la fusée : moins de références (à quoi bon multiplier les réponses sur une même unité de besoin). A vue de nez, et au risque d’être contredit par les faits, il y a 30 % de références en moins. Énorme. En parallèle, et toujours pour “lire” plus facilement l’offre, Auchan a tenté d’homogénéiser les prix à la gamme. Toujours une bonne idée sur le papier, néanmoins difficile à faire vivre sur certaines catégories ou les péréquations de marge selon les parfums/les variétés permettent de suivre la guerre des prix sur les majeurs en se “refaisant” sur les produits mineurs.
Enfin, troisième chantier : l’ILV. Là aussi, un seul objectif : faciliter le choix du consommateur, donc l’expérience d’achat. J’ai évidemment adoré le tableau d’offre saumons/truites fumés où “Marinette” compare l’offre (un peu à la manière de Decathlon, voir ci-dessous). Là encore, le plus difficile commence : faire vivre dans le temps autant de bonnes intentions. Mais, sur le papier, j’achète tout !
A quand les boîtes de conserves de petits pois dans la zone marché? Et pourquoi pas…….
Bof
Des conserves sur des palettes en plastiques ?
J’espère qu’ils ont pas réfléchis trop longtemps quand même !
Pas de quoi casser 3 pattes à un canard….On met 2 ou 3 affichettes en faux bois qui font vintage mais qui font toc ( à côté d’indication de prix en papier bien blanc avec une police de caractères qui n’a rien à voir) , une affiche pour simuler l’enseigne d’un commerce de quartier et des meubles en palette de plastique(?) … De qui se fiche-t-on? merchandising proche du zéro…Nextttttttttt!!!!!!!!
Bonjour Olivier,
Allez vous nous parler du shop in shop 100% bio de 550m2 d’un hypermaché Carrefour (je ne sais plus lequel mais je pense que l’info ne vous a pas échapée).
Carrefour Chambourcy dans le 78
ils pourront réinventer l’implantation autant de fois qu’ils le voudront, tant que les produits resteront de médiocre qualité, je ne pense pas que les ventes redécolleront.
Moi ce qui me laisse sceptique, c’est cette fausse proximité avec le consommateur. Cette fameuse Marinette. Rien qu’à voir la photo c’est déjà has-been.
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Les boîtes de conserves de poisson sont de plutôt de beaux objets colorés, les mettre en valeur comme ça, fait envie.
Mais je suis bien d’accord avec les autres commentaires, les palettes moches cassent le truc et la fausse proximité “Marinette”, c’est trop artificiel. Je fais partie des gens que cela exaspère d’acheter une baguette “pauline” au “fournil de mon enfance”.
Y a une idée intéressante, façon belle-iloise, mais c’est pas encore la bonne déclinaison.