Passage dans un Leclerc du Sud-Ouest et un exemple très concret de construction de l’image-prix d’un magasin. Prenez quelques produits dont les repères prix sont construits par des prix quasi-uniformes d’un point de vente à l’autre. C’est le cas de l’entrée de gamme sur la catégorie tomates cerises : presque partout à 0,99 €. Sacrifiez ensuite 4 centimes de votre marge (ou achetez de manière un brin plus efficace que vos concurrents) et positionnez le produit à 0,95 €. Forcément les clients acheteurs de la catégorie le remarqueront. Dans le même magasin, même exemple sur les salades cœurs de sucrine, couramment à 0,99 € et ici à 0,95 €.
Rendez-vous demain (oui, le blog est ouvert !) pour l’image-prix par le contre-exemple. Dans le même magasin…
Si les distributeurs veulent faire des proms très bien mais il faut que les fournisseurs soient toujours rénuméré décemment et que leur rénumération leur permette de vivre. Il me semble normal qu’on instaure une taxation sociale et écologique des produit.
@ Patrice,
ici on parle de merdouille espagnol pas de produits francais.
qu’on sert le kiki au fournisseur d’un produit venant d’ailleurs ne me dérange pas le moins du monde.
reste ensuite au consommateur de savoir ce qu’il veut…..
“ou achetez de manière un brin plus efficace que vos concurrents”
quelles sont les possibilités ?
Quand les transporteurs espagnols qui nous amènent toute cette “came” paieront le litre de gas oil le même prix en Espagne qu’en France, on en rediscutera … (source : https://www.cargopedia.fr/prix-des-carburants-en-europe)