Après un exemple Auchan (revoir ici), nouveau plaidoyer pour le chaînage sur un produit emblématique du sujet : Danette. Danette et ses opérations “Prix choc” à 1 € la quadrette et avec un gencod spécifique. Aujourd’hui, c’est chez Carrefour qui, par manque de rigueur sur le sujet, détruit de la valeur à qui mieux mieux…
Pour planter le décor, la photo ci-dessus. Sur les 12 réfs Danette du rayon, 10 sont en prix choc. Sur les 10 réfs, 9 sont à un prix pas franchement choc (voir ci-dessous). Seule la version spéculos est en fait affiché à 1 €. Pour les 9 autres, Carrefour m’en demande très précisément 13,76 € avec, en point d’orgue, la Danette Caramel salé à… 1,73 €. Une autre version du prix… “choc”.
Direction la caisse avec les 9 Danette dont mon p’tit doigt me dit que les prix sont déconnants. Bingo… Pour les 9 Danette, Carrefour ne me demande plus que 9 €. Ce qui, en clair, signifie que Carrefour aura “détruit” presque 5 €, entre le prix affiché (celui qui a donc décidé ou non le client à acheter) et le prix réellement payé. Tout ça par non-chaînage des gencods. Ballot.
Est-ce que ce ne sont tout simplement pas les bonnes étiquettes qui sont affichées en rayon ?
Les EANs des prix chocs doivent être spécifiques je pense.
oui c’est surement un repli TG en FDR, donc on ne change pas les étiquettes et on comble les trou pour finir d’écouler.
Je rejoint Olivier, soit on affiche 1€ et on écoule vite le reliquat (et au passage un vrai prix choc auxquelles les clients ne croient plus) soit on remonte au prix FDR et donc on fait de la marge. la c’est double effet: le clients voit un prix choc a 1.73€ et crient a l’arnaque et ceux pret a payer se prix se voit gratifier d’un super tarif qu’ils ne verront surement pas car voir 0.73€ de dif sur le prix attendu en hyper, c’est noyé.
Là ca va dans le sens du consommateur, mais moi je vois surtout que sur 10 prix affichés, 9 sont faux….