Comme promis (dans le post précédent), retour à Rennes dans le dernier B&M ouvert où les curieux se pressaient samedi. Et moi avec ! Normal pour une enseigne qui n’est pas connue et qui promet du prix. Deux expressions reviennent d’ailleurs dans toute la communication de l’enseigne : “Bons plans” et “Prix fous”. Ce qui impose de se border dans l’exécution du prix, surtout au moment de faire la fameuse “bonne première impression”. Et là, c’est – comment dire ? – plus que perfectible. J’ai trop d’exemples… Comme cet hélicoptère (ci-dessus) annoncé à 10 € mais barré pour être proposé à 9,99 €. Soit une remise de… 0,1 %. Ou encore ce tranche pomme (on en a toujours besoin d’un à la maison) à 3,99 € au lieu de 4 €. Et je passe sur les prix identiques aux prix barrés. Preuve que ceux qui ont été chargés de poser les étiquettes les ont beaucoup moins regardées que ceux pour qui elles sont destinées. Probablement car personne ne leur a expliqué (donc la faute en revient d’abord aux managers). On appelle ça l’exécution du prix. C’est l’un des trois leviers du Penser-Client avec l’exécution de l’offre et l’expérience d’achat. Cher Antony Biron (le patron de B&M France), nous ne nous sommes pas croisés pour l’ouverture mais c’est quand vous voulez…
Encore une enseigne qui détruit de la valeur, signe de la paupérisation dans l’air du temps
Le non alimentaire des leclerc et compagnie ont du souci à se faire…