Premier jour, hier, de la nouvelle vie du commerce, entre essentiel et non-essentiel. Et difficulté d’appliquer ce qui manque parfois de bon sens. D’où des différences selon les enseignes et les magasins. Les piles et les ampoules, parfois condamnées, parfois accessibles. Au sein de l’univers cuisine, certains magasins ont fermé l’ensemble de la zone, d’autres uniquement les verres et les assiettes laissant à la vente les poêles, etc. Et puis il y a le mystère des petites culottes, chaussettes, collants, etc. Vêtement, donc interdit. Sous-vêtement, donc quand même assez essentiel 😉 Et là, toute la journée, au gré des magasins que j’ai visités, j’ai du en déduire qu’il y avait Carrefour et… les autres. Florilège que je partage… Évidemment pas pour le plaisir d’envahir le blog de p’tites culottes (j’ai passé l’âge de feuilleter, exatique, le catalogue La Redoute) mais bien pour illustrer l’extraordinaire casse-tête d’une situation tout aussi extraordinaire.
Chez Carrefour, accessibles
Dans un second Carrefour aussi
Dans un premier Intermarché, inaccessibles
Dans un autre Intermarché, également interdites à la vente.
Chez Leclerc, inaccessibles
Chez Action, inaccessibles
Chez U, inaccessibles
Chez Géant, inaccessibles aussi
Et chez Market, accessibles. Autant dire que l’on est très permissif sur le sujet chez Carrefour !
Carrefour fait beaucoup cavalier seul en ce moment, que ça doit sur les rayons (TV, textile etc.) ou bien sur les process (vente “par un vendeur” normalement interdite).
Les clients nous le remontent et s’étonnent pourquoi chez crf et market c’est possible mais pas ailleurs. Espérons qu’ils ne rejouent pas la Fnac / Darty… !
Etonné de voir Carrefour là jouer aussi égoïstement que Fnac/Darty il y a quelques jours. Dans mon Carrefour très peu de rayons avec du ruban, beaucoup de rayons encore ouverts : sous-vêtements adultes, linge de maison, …
Carrefour est devenu expert pour ne pas respecter les lois et règlement.