Le vrac, ma nouvelle passion ! Comme je fais rarement les choses à moitié et que nous préparons déjà les 1ers Ateliers du Vrac avec mes camarades de Linéaires, Rayon Boissons et Circuits Bio, j’me mets en vrac sur le sujet 😉 Après avoir révélé les tests de Franprix sur les marques nationales (revoir ici), nouvelle innovation : le “vrac connecté” pour une expérience client réellement enrichie (et une meilleure maîtrise de la démarque). Le proto, né de l’imagination de trois jeunes entrepreneurs (dont je vous mets le nom et la bobine ci-dessous), est visible dans l’un des trois nouveau Franprix, à Haxo (75019). Le principe ? Une trémie “intelligente” (qui sait ce qu’elle contient et la quantité qu’elle distribue) reliée à une imprimante. Via un écran sur la trémie, le client connaît donc en temps le montant de son achat, ce qui est bien le point faible du vrac par ailleurs (alors que la promesse est la maîtrise du budget). Le résultat est bluffant, à la nuance du centime additionnel qui est apparu entre la fin de la distribution et l’impression de l’étiquette ! A vous de le découvrir en images ici >>
RDV donc le 10 juin pour la première édition des Ateliers du Vrac. Comme toujours sur les manifestations que je co-organise avec Linéaires, Rayon Boissons ou Circuits Bio, engagement à l’avance sur la qualité du contenu. Il en ira des Ateliers du Vrac comme des Ateliers du Vin, du Drive ou du Retail Execution Forum pour ceux qui ont déjà “goûté” à nos événements !
Incroyable, je connais des pompes à essence près de mon binks qui ne sont pas aussi modernes et performantes.
L’argument client “c’est pour nous en faire payer plus par ce qu’on ne sait pas combien ca va couter” en prends un coup avec ce système “live”.
très beau système.
Du coup, ça résout le souci de “filoutage” (choix d’un produit moins cher lors de la pesée). On peut donc proposer plusieurs variétés d’un même produit (bio/non bio) sans risque de faire payer le mauvais prix.
Moi qui sous estime toujours les poids, j’adore.
Après, le client qui veut inverser 2 étiquettes imprimées précédemment pourra le faire, et s’il s’agit de deux produits difficiles à différencier on en revient à la problématique du passage en caisse à vérifier…
Certes mais le système ne sort une étiquette que si on a déjà rempli son sac, ça limite je trouve (c’est juste mon avis ^ ^).
Mais oui, un client “peu scrupuleux” trouvera bien facilement une parade.
Super !
Si vous voulez visiter un petit magasin de vrac hyper optimisé avec 900 références dans 33m2.. n’hésitez pas à passer nous voir à Versailles, City Vrac ! On affiche également l’eco score sur tous nos silos depuis l’ouverture !
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