VIDÉO GRANDE CONSO à Pont-L’ÉVÊSQUE dans le Calvados pour découvrir une nouvelle solution pour le vrac liquide. Les clients peuvent utiliser leurs propres contenants et, surtout, se servir réellement la quantité voulue. Ce qui, paradoxalement, n’est pas la norme des solutions les plus diffusées à présent !
Personnellement, cela ne me convainc pas.
Déjà, le fait que le réceptable n’ait pas été nettoyé ne me rassure pas du tout sur la politique d’hygiène du magasin (le fait que cela ne coule pas et donc se salit peu n’est pas, pour moi, un argument qui justifie de ne pas nettoyer quotidiennement).
Quant au processus de changement des contenants d’approvisionnement, j’imagine d’ici l’employé avec ses mains sales changer telle ou telle bonbonne (entre deux palettes qu’il vide par ailleurs) et la connecter notamment au tuyau sans aucune précaution, ni désynfection.
Beurk et rebeurk.
La seule nouveauté réelle que je vois, c’est la possibilité de se servir uniquement la quantité de liquide voulue.
Dans les années 60/70, outre les bouteilles consignées (vin, bière, limonade, Coca Cola, lait …), ainsi que les pots en verre de yaourts, consignés aussi, le supermarché SUDECO près de chez moi proposait le vin et l’huile à la tireuse. Pas de bouteilles vides en vente, il fallait apporter son propre emballage. Quantité obligatoire : 1 litre.