Vu en magasin hier (à Nice) cet affichage. Soucieux de ne pas écorner son image-prix avec un bidon d’huile de tournesol anonyme à 3,48 € (soit plus cher que la « grande » marque, lorsqu’elle est présente), l’hyper prend les devants : « Leclerc ne profite pas de la crise… ». Et, en guise de démonstration, le calcul du prix : le prix d’achat HT majoré de la TVA, soit 3,48 €. Au passage, Leclerc en oublie les 10 % de marge obligatoire (loi Egalim). Et préfère donc être hors-la-loi que profiteur ! D’ailleurs, qui pour lui faire procès… ? Reste néanmoins la question essentielle : si ce n’est Leclerc, qui…se graisse sur le prix de l’huile ?
Trois posts aujourd’hui !
L’actu est chaude !
🙂
Intéressant car le cas présente de nombreux points.
En voulant se dédouaner de s’enrichir, l’info “prix coûtant” devient aussi un argument “promo” “bonne affaire”. Et donc avec un risque, cultiver la rareté et donc faire monter les prix.
Pour être totalement pédagogue, le magasin devrait expliquer sur quoi il “sur-marge” pour équilibrer les comptes de son point de vente….
Le Leclerc concerné est-il vraiment hors-la-loi ?
Je le soupçonne, par souci de simplicité, de bien avoir pris en compte le SRP+10, mais, pour la lisibilité consommateur, de ne pas l’avoir mentionné….
Effectivement Alex, je suis raccord avec vous ; ce qui explique la dénomination PRIX COÛTANT et non pas PRIX D’ACHAT 😉