Le business des animaux est florissant ! Même si le marché est difficile à périmétrer avec précision (probablement supérieur à 4 milliards d’euros par an), les animaux constituent un enjeu économique majeur. Et pour cause… Rien n’est trop beau pour le chien ou le chat, de plus en plus souvent considéré comme un membre à part entière de la famille. Et, comme pour tout filon, les commerçants ne sont jamais loin. Normal ! Illustration avec le “cas” Casino sur l’art et la manière d’adresser cette cible via trois leviers.
1/ l’élargissement de l’offre
Historiquement, le rayon animaux a pour socle le pet-food. Au fil des ans, l’offre a été segmentée et re-segmentée, parfois même sur-segmentée ! A présent, cap sur les accessoires. Exemple dans cet hyper Casino avec une gamme de jouets. Dans la même veine, Carrefour avait développé pour les fêtes une gamme “textile” Noël (revoir ici).
2/ La valorisation de l’offre
C’est la dernière initiative en cours chez Casino : rebaptiser la gamme MDD qui devient désormais “Casino animaplus”. Objectif : une marque avec un contenu pas uniquement utilitariste comme peut l’être une MDD d’enseigne. La gamme a été élargie, certaines recettes revues et les packs (signés de l’agence d’Artagnan) ont été singulièrement réhaussés pour valoriser l’acte d’achat, ce qu’une part des maîtres sont visiblement prêts à faire.
3/ Une nouvelle expérience d’achat
Il y a quelques mois à Paris St Didier, Casino a profité d’une cellule libre dans la galerie pour “exfiltrer” le rayon pet-food. Désormais, c’est une boutique autonome ce qui contribue là encore à valoriser l’achat.
Bonne idée !
15€65 le frisbee. On est encore sur 2% de marge là ? 😀
Casino devrait faire des boutiques indépendantes avec chacun de ses rayons. Sur un malentendu, il y en aura peut-être une qui marchera 6 mois !
Ah ah ah ah ! Toujours plus bas !
Effectivement sur un malentendu…🤣🤣🤣