Le combat anti-inflation est une attente sociale (et pas uniquement de Bruno Le Maire et Olivia Grégoire !). C’est donc une posture qui doit infuser à tous les niveaux des enseignes, histoire de démontrer aux clients que le combat est sincère. Exemple il y a quelques jours dans ce rayon fruits et légumes d’un hyper Carrefour. Les poireaux sont mis en avant à 2,99 €/kg dans le cadre du programme maison “Défi anti-inflation”. C’était peut-être un bon prix pour du poireau frais, c’est un mauvais prix pour du poireau. La preuve ? Dans la même enseigne, la version surgelée (déjà préparée et sans le “vert”) est affichée à 1,15 € / kg. Quel est donc le meilleur prix… ? Autant le reconnaître et proposer le choix au client. Lequel, dans l’exemple ci-dessous (imaginé par mes soins), ne pourra qu’en être reconnaissant à l’enseigne dont le combat anti-inflation apparaîtra alors totalement sincère.
Et pour ceux qui veulent améliorer leur image-prix, je ne peux que conseiller cet excellent opus sur le sujet 😉 Disponible ici >>
Ok pour la comparaison mais même si le produit est le même à la base, les utilisations ne sont pas les mêmes au final.
Si je veux faire une salade de poireau, pas sûr de prendre plaisir à manger un poireau rondel décongelés…
Hello Denis
Le produit n’est pas 100 % substituable certes. Mais quel client en voudra à l’enseigne de lui proposer de faire des économies… ? Ensuite, il achète ce qu’il veut. En fonction de son usage ou de ses croyances (frais > surgelé)
Ol
Tout a fait d accord avec vous ce n est pas du tout le même besoin consommateur
Encore une idée d intellectuel de la grande distribution !
Et pourquoi pas rajouter dans le comparatif les poireaux en concerves🤔 !
Imaginez un peu le balisage des rayons avec ce genre de pratique !
Et après il faut arrêter de prendre les clients pour des idiots, ce genre de comparatif ,ils savent le faire!
Les clients conServeront leur libre arbitre. 🫢
Sauf que les poireaux frais sont français, pas certaine que les surgelés le sont.
On ne peut pas uniquement se baser sur le prix. Il faut aussi soutenir notre production maraîchère un minimum.
Passez le bonjour à Mamie Dauvers 🙂