Il y a tout juste un an (revoir ici), je révélais le test de Carrefour sur les (grandes) marques en vrac dans son hyper de Montesson. Parmi les postulats de départ, il y avait la volonté d’un prix vrac systématiquement inférieur au pré-emballé (“non négociable” avait affirmé Bertrand Swiderski, patron RSE de Carrefour, lors des Ateliers du Vrac) et la possibilité offerte au client de venir avec ses propres contenants (donc de gérer facilement la tare).
Un an plus tard, ça n’est toujours pas un carton commercial (sans – mauvais – jeu de mots !), mais, ça, Carrefour s’en doutait un peu. L’essentiel était dans la compréhension des usages et l’identification des points de friction. Côté enseignements, Carrefour a identifié 4 typologies de consommateur vrac. Le niveau 1 : ils font leurs courses 100 % emballés. Le niveau 2 : ont envie de se mettre au vrac mais ne le font pas parce que compliqué en apparence et pas de motivation suffisante pour investir le temps nécessaire. Le niveau 3 : ceux qui achètent en vrac certaines références. Et enfin le niveau 4 : ils réalisent le maximum d’achats possible en vrac (des clients que l’on retrouve d’ailleurs davantage chez Day by Day que chez Carrefour !). L’objectif de Carrefour étant de faire basculer petit à petit les consommateurs dans la catégorie supérieure. Ce qui, mécaniquement, développera le marché.
Pour ce faire, il fallait donc s’attaquer aux irritants. En premier lieu, le prix. La signalétique a été revue et insiste davantage sur l’avantage économique qu’il y a à passer au vrac. C’est le cas dans les rayons préemballés. Mais aussi au niveau des balances avec, via un QR code, un comparatif de prix. Second irritant : la complexité à apporter son propre contenant (ce que les puristes du vrac souhaitent). Ici à Montesson, Carrefour a rassemblé en un même point (au rayon bio) les deux balances utilisables pour la tare. Là aussi, la signalétique a été revue. Car l’objectif ultime (de Carrefour, comme de tous) n’est pas tant d’exploser les compteurs mais de se préparer à un mouvement qui, de toute façon, semble inéluctable. Au moins pour quelques catégories de produits. L’heure est donc toujours à la pédagogie.
Le client du vrac ne se trouve pas en hyper car il a peur du manque d’hygiène …les rayons sont souvent rapidement mal tenus vu les manque de personnel . Donc , pas la peine d’insister dans ce format.
Par contre , en super et selon la zone de chalandise à bon pouvoir d’achat, le potentiel est là. Mais là encore , il faut une tenue de rayon irréprochable et un PV cohérent . Voudra t on y mettre les moyens humains ? Pas sûr …donc pas d’avenir …
Vraiment pas convaincu par le vrac. Dans votre exemple de la semoule, c’est moins cher que la marque Ferrero mais rien sur la marque de distributeur.
Pour le magasin carrefour montésson le prix du vrac est plus chère que le même produit dans sont emballage, donc le choix est vite fait… Pourtant j’étais intéressé par ce mode de course, mais comme tout est de plus en plus chère ! On continue de faire attention au prix.
Le vrac en hyper? Non merci! Les silos sont ils régulièrement nettoyés? Comment sont stockés les sacs en réserve ? Y-a-t-il de la rigueur dans la gestion des dlc, des différents arrivages? Il suffit déjà juste de regarder l’état des linéaires!!! Sacs déchirés et abandonnés par les clients, silos entrouverts et surtout aucun employé pour intervenir… le vrac, moi c’est chez biocoop, day by day ou magasin spécialisé!!!
Voilà un truc sans intérêt si ce n’est celui de faire bosser les fabricants de PLV
Ce qui est déjà estimable dans la mesure où ils étaient un peu désoeuvrés depuis la débauche d affiches pour act for food
Vous savez ce machin vite abandonné sur l autel des pépettes
Tous ces machins pour la bonne conscience des patrons pour leurs rejetons fans de Greta…
Papa lutte pour l écologie mon bébé…
Et la PLV… elle est en papier recyclable ?