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La MINUTE RETAIL : Pourquoi la consommation se fragmente…

Aujourd’hui, et quitte à vous surprendre, je vais vous entretenir… d’ophtalmologie. Avec, j’vous rassure quand même, un lien très direct avec le commerce et la conso. Car vos clients sont “obsédés” par la valeur des euros qu’ils dépensent. Et rien de tel que de les confier (les yeux comme les euros) à un… spécialiste. Grand Frais et ophtalmo, même combat, regardez ici >>

3 commentaires

  1. Merci pour cette minute qui m’apprend des choses. Je reconnais maintenant que cette recherche de spécialistes est réelle.

    Mais, il existe l’inverse, qui a été théorisé sous l’appellation “good enough”.
    En effet, pourquoi les gens achètent “des lunettes de lecture” dans la grande distribution, alors qu’ils peuvent les acheter chez des spécialistes ?
    Parce que celles des grandes surfaces sont suffisantes (good enough), pour contrebalancer les obstacles pour aller en chercher de meilleure qualité, ailleurs.

  2. Je suis assez circonspect.

    Un généraliste n’est pas équipé et n’a pas la formation spécialisée pour offrir un diagnostic pour un problème ophtalmologique.
    Un ophtalmo aura tout l’équipement et une formation complémentaire pour être le spécialiste de la vue.

    Le kilo de pomme golden de chez Carrefour et de chez Grand Frais viennent certainement de la même coopérative et sont mises en rayons pas des employés non qualifiés dans des meubles standards. J’ai du mal à voir la valeur ajoutée.

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