Une partie de la consommation responsable doit passer par les emballages. Qu’il s’agisse de les supprimer (le vrac), de les alléger (par exemple Cristaline dont le poids de la bouteille a été divisé par 2 en 20 ans environ) ou d’encourager à leur réutilisation (via des éco-recharges), des pistes existent. Encore faut-il les explorer avec un zeste de penser-client. Ce qui n’est pas suffisamment le cas pour les éco-recharges, souvent pour des raisons de prix aberrant.
Voici donc ce que sont à mes yeux les trois conditions de succès, sur la foi d’un exemple vu en magasin. En premier lieu, les éco-recharges doivent être implantées en alternatives au produit “mère”. Trop souvent (et faites moi confiance, j’en vois des magasins !), ça n’est pas le cas. La proximité va permettre à la fois la compréhension et la comparaison, second sujet… Pour comparer (et c’est donc ma seconde condition de succès), encore faut-il que ça soit comparable. D’où l’intérêt de proposer exactement la même quantité. Troisième condition : que le prix soit réellement incitatif. Ce que le client appréhendera d’autant mieux que les quantités sont identiques. A minima, 10 % d’économies sont nécessaires pour faire basculer le client. Autant vous dire que cet exemple ici a fait ma journée. A copier !
simple, basique, efficace !
Incompréhensible que ce ne soit pas le cas pour toutes les recharges.
Malheureusement la réalité du coût de production et de contrainte de conditionnement des éco-recharges font que ces produits sont moins avantageux pour l’industriel. Peut être qu’une offre vrac, bien plus difficile à mettre en rayon je l’accorde, serait la solution.
Malheureusement la réalité du coût de production et les contraintes de conditionnement liées au transport des éco-recharges font que ces produits sont moins avantageux pour l’industriel. Peut être qu’une offre vrac, bien plus difficile à mettre en rayon je l’accorde, serait la solution.