Vivre sans prospectus, mais avec un peu quand même… Voilà la quadrature du cercle à laquelle les enseignes sont confrontées. Et davantage encore celles qui ont annoncé vouloir “débrancher” le prospectus (ou qui l’ont déjà fait, Leclerc et Cora par exemple). Donc comment ne pas perdre le contact avec le client, surtout pour les opérations qui fonctionnent avant tout grâce à l’exposition des clients à l’offre : foires aux vins, plein air, jouets, etc. A l’automne, j’avais révélé comment Leclerc continuait malgré tout à diffuser des prospectus à l’occasion de sa foire aux vins. Il s’agissait de clients encartés dont le vin était manifestement un centre d’intérêt, leurs achats en témoignaient. Autre exemple aujourd’hui avec l’opération plein air de Carrefour. Et ce client me signalant avoir reçu, via une diffusion adressée, le prospectus en question. Et, ce, sans l’avoir demandé. Ce qui signifie donc que son historique d’achat signait son intérêt pour le sujet 😉
(D’ores et déjà, j’vous donne rendez-vous les 11 et 18 juin pour la 3e édition du Forum de l’Activation Commerciale, à Lille et à Paris, co-organisé avec Diamart et Cédric Ducrocq. Bref, du lourd à l’heure d’imaginer “fabriquer” le trafic vers les points de vente sans prospectus)