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L’image-prix peut se construire (ou s’abimer) pour quelques centimes. Exemple avec Nutella.

C’est le principe des grandes marques : elles attirent l’oeil un peu plus que la moyenne. Comme quelques unes, Nutella en est (une grande marque). Alors quand une marque déjà “gourmande” se lance sur une catégorie “gourmande” (les glaces), c’est une seconde raison d’attirer l’œil ! D’où l’impérieuse nécessité de se border en prix, surtout sur un document (le prospectus) qui vit à l’extérieur du magasin. Car l’image-prix peut se construire (ou s’abimer) pour quelques centimes.

C’est le cas ici entre Carrefour et Auchan pour les tracts de la semaine. Et parce que c’est Nutella, parce que c’est un lancement, parce que c’est produit gourmand, la probabilité que des clients aient vu les prix différents est plus élevée que la moyenne.

4 commentaires

  1. Revenant juste d’Andorre hier, j’ai constaté que Nutella et autres Kinder sont nettement plus chers là bas…
    Par exemple le pot de 350 grammes de Nutella à plus de 4€ contre +- 3,€ le pot de 400 grammes chez nous en moyenne. Idem avec les oeufs Kinder surprise par 4 à plus de 5€ contre à peine plus de 3€ les 3 en France. Ou encore le paquet de 10 kinder maxi à plus de 5€ contre un peu plus de 3€ le paquet de 11 chez nous.
    Donc, les quelques cents d’écart entre Carrefour et Auchan sur un nouveau produit ne me choquent pas.

  2. C’est surtout quand on voit son prix dans votre exemple et qu’on regarde dans son drive Intermarché du coin en fond de rayon à 4,74€…
    Par contre, je n’irai toujours pas dans le U à 4,99€, comme tous les produits chez lui.
    Comme quoi, on fait bien d’arrêter les prospectus..

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