Une nouvelle victime dans la chasse au plastique qui sévit actuellement dans l’industrie de la grande conso (pas de procès d’intention, j’ai pas dit que j’étais contre, hein…) : Mon Chéri. Un pari audacieux pour Ferrero car la boîte de Mon Chéri est autant un objet qu’une confiserie. Et le plastique participait objectivement à la perception de “l’objet”. Mais l’époque n’est plus au plastique…
Ça faisait longtemps que les boîtes en plastique de Ferrero (Mon Chéri et autres références) finissaient toutes au rebus.
Trop fines et pas étanches, elles n’étaient pas réutilisables et fragiles.
Bon débarras.