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Transparence et info consommateur : le défi de l’agrégation

Les initiatives de transparence dans l’info consommateur se multiplient, au-delà des obligations légales. C’est d’ailleurs souvent l’argument des grincheux pour appuyer fort… sur le frein. De fait, il y a le Nutriscore, le Planet Score (ou son “ancêtre” l’éco-score) ou encore désormais Origin’Info. Et la liste pourrait encore s’allonger (par exemple avec des infos sur la rémunération des agriculteurs). Alors, oui, c’est parfois difficile de rajouter un logo / un tableau sur un pack (encore que, quand il s’agit de placer une allégation valorisante, les créatifs des agences y arrivent à merveille 😉 ). D’où l’idée de profiter des smartphones des clients pour mettre à disposition ces infos en les agrégeant. Comment ? D’un simple scan du gencod. A la condition évidemment que les infos soient correctement renseignées et reliées à l’EAN 13. C’est notamment ce que présentera Wyfy demain mardi sur le salon Tech for Retail à Paris et que je dévoile en avant-première. Et je dois dire que c’est à la fois simple et malin. Ce qui est souvent de bonne augure pour un développement à grande échelle.

3 commentaires

  1. Il y avait Gabriel Attal avec son fameux: “Je casse, je répare! Je salis, je nettoie!”. V’là tonton Dauvers et son “Je scanne, j’affiche!”
    Ça marche que sur la MDD? C’est payant? Si c’est gratuit, il y aura de la pub? Les produits de la pub seront tous en Nutriscore A ou pas?
    Mr Dauvers, au lieu de nous parler du méchant Pierre Palmade, faisez plus mieux vot’ travail de journaliste, On n’est pas sur Radio Luxembourg ici.

    1. Il existe depuis très longtemps des applications indépendantes des industriels.
      Le projet Open Food Facts avec plus 3 millions de produits en est un bon exemple : openfoodfacts.org

  2. Ces gaufrettes à la framboise sont les Pailles d’or du pauvre. En fermant les yeux, on peut penser que c’est la même chose.
    D’ailleurs, Chabrior et les autres marques de distributeurs, y compris Leclerc, vendent ces gaufrettes à la framboise beaucoup plus chères que les gaufrettes au chocolat ou aux noisettes.
    Un jour, un concurrent comprendra que cela peut attirer pas mal de clients de les vendre à leur juste prix, sans l’abus actuel.

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