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La MINUTE RETAIL : c’est la fin des danseuses !

Aujourd’hui, je fais mienne cette phrase célèbre de l’investisseur américain Waren Buffet : « C’est quand la mer se retire que l’on voit ceux qui se baignent nus ». Sous-entendu : en économie, la réalité – voire le réalisme – finit toujours par gagner la partie. Et l’année qui s’achève aura été extraordinaire à cet égard. Jamais il n’y avait eu autant de renoncements dans le commerce. Dernier en date, cette semaine : Lidl…

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Un commentaire

  1. C’est quand la mer se retire qu’on voit ceux qui se baignent nus. Pareil, quand le père se retire, la mère tombe deux fois! La première fois, elle tombe des nues car le papa n’est pas du tout protégé et la seconde fois, elle tombe enceinte… C’est ça de vouloir mouiller nu à tout prix! (Un des synonymes de baigner est mouiller, je n’invente rien) Sacré papa, c’est ça d’être généreux, désintéressé, d’être un philanthrope comme Warren Buffett!
    C’est la fin des danseuses? Il s’agirait de maîtresses coûteuses, de plaisirs pour lesquels on dépense beaucoup d’argent… Ok, je comprends, Olivier veut se confier. Moi aussi, j’en ai eu pas mal des maîtresses goûteuses surtout de cinq à sept, à l’heure du goûter. Et que ça s’empiffre, par chance le gavage des oies n’est pas interdit! Effectivement, c’est un petit budget, entre les cinés, les restos, les hôtels…
    La gabegie n’a plus sa place! Il s’passe quoi Olivier, tu passes une épreuves du bac à l’oral? Une citation, deux expressions du siècle dernier… T’es en candidat libre, rassure moi!
    C’est quoi la gabegie? C’est le désordre dans une entreprise, le gâchis, le gaspillage. Donc tout ça n’aurait plus sa place… Y a largement assez d’espace dans le buffet de Warren. L’utiliser serait tout à fait commode! Et je ne dis pas ça pour meubler parce que je n’ai rien à dire.
    Et on finit avec “En médecine comme en économie l’amputation a une vertu, elle évite la contamination”. C’est de qui, Warren Laguiole? Warren Opinel? Warren-Guy Graine-Graine? C’est tout simplement de Victor Inox, l’inventeur du couteau suisse… Ça vous la coupe, hein!
    J’ai vécu en Suisse dans le Valais (Oh oh, de Dana, la-li-la-la. Dans le Valais, oh oh, j’ai pu entendre les échos) dont le chef lieu est Sion. Et la seule vertu de la pute à Sion, c’est qu’elle accepte encore les petites coupures en Francs (Francs suisses, bien entendu!) En général, elle t’oblige à te protéger, un Kway au minimum, si possible une capote anglaise, pas de contamination possible! (Si tu viens d’ma part, elle se contentera d’une capote en glaise, la Nature toussa)
    J’ai aussi vécu à Condom dans le Gers, la ville de l’Armagnac où l’on compte le plus de centenaires au monde! Venez vous installer en Armagnac si vous ne voulez pas passer l’arme à gauche!

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