Les emmerdes, ça vole en escadrille… Aujourd’hui encore pour Casino. A la mi-journée, Franprix annonce une réorganisation de son siège et la suppression de 42 postes (c’est évidemment pas le nombre le sujet, mais bien le principe). En fin d’après-midi, la bourse clôture sur un nouveau “plus bas niveau historique” : 91 centimes (et une valeur d’entreprise plus que modeste : 366 millions d’euros). Il y a quelques jours déjà, l’activité proximité avait perdu un important master franchisé : Puig et sa petite centaine de magasins approvisionnés, au profit de Carrefour. Au même moment, on apprenait que Magne, un autre maousse partenaire (145 magasins sous enseigne) était à son tour en discussions ouvertes. Pas franchement ce qu’on pourrait qualifier de spirale… positive. Pas de quoi soutenir un cours qui ne cesse de s’enfoncer. Depuis le 28 mars, jour de la prise de contrôle par Daniel Kretinsky, l’action s’est effondrée de 87 %. C’est pas un compliment, mais on dirait quand même… “une Naouri”.