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Vient de paraître : Devenez le PATRON PRÉFÉRÉ de vos collaborateurs

La vie est affaire de préférence ! Avec qui partagez-vous la vôtre ? En toute logique avec le bipède que vous… préférez parmi les quelques milliards d’autres qui gambadent sur la planète. Quels magasins fréquentez-vous le plus ? Là encore, la logique est implacable : vos magasins préférés, a minima parmi ceux qui vous sont accessibles. Bien sûr, la préférence s’efface parfois derrière la contrainte… « Pas d’autre choix possible ! ». Mais la relation (commerciale) est alors fragile. Sujette à infidélité ou rupture. La vie ? Une affaire de préférence !


La relation entre un « patron » et ses employés est à l’identique. D’autant plus lorsque (comme actuellement) les bras manquent… Quel commerce (ou quel industriel) peut affirmer avoir pourvu tous les postes nécessaires au bon fonctionnement de l’entreprise ? Ici, il manque un boucher. Là, un préparateur drive. Ailleurs encore, un employé polyvalent ou un chef épicerie. Aucune strate hiérarchique de l’entreprise n’est épargnée. Et si, par bonheur, votre équipe est complète, un nouveau défi s’offre alors à vous : les convaincre, individuellement, d’en demeurer l’un des membres. Bien sûr, il y a le salaire, les conditions de travail, les perspectives, etc., mais il y a surtout… VOUS. Le patron, le boss, le chef.


Voilà pourquoi, au même titre que vous rêvez d’être le magasin préféré de vos clients, vous avez un autre challenge : devenir le patron préféré de vos collaborateurs. 
D’ailleurs, pour espérer l’un (la préférence de vos clients), il est indispensable de commencer par l’autre (la préférence de vos employés). 

C’est l’objectif de ce guide 100 % pratique de 36 pages, dernière publication de la maison ! Pour ce faire, j’ai fait appel à un expert (que je ne suis pas sur le sujet) : Antoine Espezel. Il accompagne depuis 20 ans des dirigeants dans cette mission délicate de recruter et de fidéliser. Ce guide est la synthèse de tous ses trucs, astuces et conseils.

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8 commentaires

  1. Ça me fait rire d’entendre qu’il manque de main d’oeuvre. Pour certaine enseigne c’est plutôt une volonté de ne pas embauché même pour des remplacements.

    1. Risible de lire de telles âneries, il suffit de regarder les offres d’emploi pour comprendre le réel manque de bras en magasins.

      1. Je ne dis pas que certain métier où il ya des compétences spécifiques (genre boucher poissonnier ….), Il ne manque pas de bras . Ce que je dis c’est que certaine enseigne bloquent les embauché que ce soit en CDI ou en CDD pour des remplacements.

          1. il a raison Mr Lodgy il y a aujourd’hui des enseignes qui tirent sur les frais de perso.

            pour ce qui est des metiers de bouche faut pas deconner non plus les mecs ils payent surement en boucherie encore que ça depend vraiment des enseignes, pour ce qui est de la poissonnerie, c’est toujours pareil, une misère.

            j’ai pleuré pour avoir en interim le même salaire qu’un boucher, j’ai eu royalement 70ct de l’heure en plus. qu’ils cherchent pas plus loin pour savoir pourquoi leurs rayons marée ferment les un apres les autres ou passent en tout Ls peu importe l’enseigne.

            beaucoup pensent avoir des personnes competentes en tant que CR sur ce metier hors force est de constater qu’ils ont un paquet de bon a nip.
            quand le produit fallait le manger y a 3 jours c’est qu’il y a un soucis …..

  2. chez monoprix a défaut de manquer de bras ça Bloque les embauches sont bloqués même pour remplacement des vacances d’été. Chaque jours, ça reçoit des lettres de motivation qui finissent à la poubelle faute de pouvoir embaucher suite à des décisions d’en haut.

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