Exceptionnelle série de “COULISSES DE LA CONSO” consacrée à la création d’une nouvelle marque : Ramdam. Une marque “sociale” (puisque chaque achat génèrera un don en faveur d’une association), portée par deux ex-cadres de la grande conso (Luc-Olivier Pieret et Julie Boureau) que j’ai décidé de suivre jusqu’à l’arrivée de leurs produits en rayon (revoir vidéo de présentation ici). Une (ou plusieurs !) fois par semaine, ils vous adresseront une carte postale pour faire de vous les témoins (de l’intérieur) de leur aventure entrepreneuriale. Épisode 5 : le financement !
” La tréso, c’est le nerf de la guerre, surtout quand il s’agit de lancer un projet. C’est un fait indéniable. Comme beaucoup d’entrepreneurs avant nous, nous avons donc entamé la recherche d’investisseurs, plus communément appelés business-angels (ou “BA”).
Pourquoi avons-nous besoin de fonds ? Pour développer notre projet, le faire connaître, mettre en place nos plans de lancement (équipe sur le terrain, mise en avant des produits…) et commander des produits auprès de nos fournisseurs. En résumé, nous avons besoin de liquidités jusqu’à ce que nos premiers clients règlent nos premières factures, prévues pour le premier trimestre 2024. Et cela coûte cher, plusieurs centaines de milliers d’euros. Il faut produire, être acheté et ré-acheté… c’est la clé pour maximiser notre impact social.
Et soyons honnêtes, on n’a pas que besoin d’argent. Ce n’est pas seulement l’argent de nos BA qui nous intéresse… Leur expertise aussi. Parmi la dizaine qui nous accompagnent déjà (et d’autres à venir, espérons-le), on compte d’anciens industriels, des entrepreneurs aguerris, un ancien DG dans le secteur social, etc. Autant de compétences supplémentaires pour augmenter nos chances de réussite.
Et ce qui est sans doute le plus primordial, nos BA soutiennent à 100 % la vision sociale de Ramdam (un don pour chaque produit acheté). Ensemble, nous construisons Ramdam, pas à pas. Et si le succès est au rendez-vous à l’avenir, ce sera le résultat d’un travail d’équipe, d’un engagement commun pour une cause qui nous tient à cœur.
On continue et merci à tous nos BA ! ”
Julie et Luc-Olivier
En fait, je dois être stupide. Je n’ai pas compris la partie sociale du concept.
Si je résume, 2 personnes et leur staff à venir vont ponctionner des sommes en vendant des produits plus chers pour les reverser à des œuvres sociales.
Et au passage, comme n’importe quelle société capitaliste, ils se rémunèrent sur les bénéfices de leur business.
C’est juste un procédé marketing, limite attrape couillon.
Et comme beaucoup d’autres ça va faire pschitt après un démarrage en fanfare et une couverture médiatique hors norme.
Pourtant Olivier, tu le dis souvent, le client n’est pas jamais dupe bien longtemps quand on le prend pour un con ( l’exception qui confirme la règle étant Grand Frais).
Dans une certaine mesure, ça me fait penser à TOUJUST qui a fait miroiter aux média un nouveau concept de vente, qui au final n’a rien changé à la distribution classique.