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Mieux que Netflix : le feuilleton Lu / Leclerc (épisode 2)

Suite de la saga Lu / Leclerc avec aujourd’hui des infos totalement exclusives : l’extraordinaire (et je pèse mes mots), l’extraordinaire chute de diffusion des produits Lu chez Leclerc. Avec la complicité d’A3 Distrib, le tableau est édifiant, avec des DN inférieures à 5 %. Parfois même 1 %. La baisse de diffusion est linéaire depuis février. Le temps que les stocks s’écoulent, certains produits sont encore présents dans une poignée de sites (notamment les rotations les plus faibles comme Figolu ou Bastogne). D’autres ont déjà disparu. Et à la différence des conflits avec Coca-Cola par exemple, difficile de “faire du parallèle”. D’où ces niveaux de diffusion historiquement bas. Ce qui, inévitablement, pénalise les deux parties. Lu, qui perd environ un quart du marché français. Et Leclerc dont l’attractivité du rayon biscuits diminue. Bref, réconciliation obligatoire !

8 commentaires

  1. Je confirme la fâcherie avec Mondelez, hier dans un Leclerc du 54 (Scapest) pas une tablette de Milka ou Cote d’or en rayon.
    Il ne faudrait pas que Leclerc confonde se battre pour notre pouvoir d’achat et pour l’offre d’achat 😉

  2. Pour info ce n’est pas que LU mais le fournisseur Mondelez. Cela touche aussi la partie salé avec Belin et malgré que la progression se tasse,il faut être honnête, la progression reste dans le vert sans ce fournisseur. D’autres marques comblent les vides et permettent de référencer des produits qui n’avaient pas leur place. Le perdant reste le fournisseur et non l’inverse 😉

    1. Personnellement je n’en peux plus de ces ruptures chez Leclerc … je les abandonne au profit des mousquetaires qui ont en plus une carte fidélité bien plus avantageuse et des prix guère plus élevés ! Adieu donc Monsieur Leclerc !

  3. Le problème, ça n’est pas la disparition (inéluctable) de la gamme toute rincée de Lu, mais si la vraie pépite de Mondelez, Cadbury, est une victime collatérale, bien que distribuée par LightBody.
    Un Leclerc sans Finger, c’est un vrai drame, alors que l’absence de Bastogne, Palmito et autres Cracottes, on a surtout envie de dire ”il était temps” !

    1. Belle ouverture d’esprit ! C’est vrai que les marques de Mondelez pèsent peu dans l’offre et le CA…. On ne fait pas des assortiments sur la base du “j’aime/j’aime pas” mais il s’agit plutôt d’une alchimie entre attentes conso/équilibres économiques/engagements sociétaux de l’exploitant (et la place disponible !)

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