Bonne Maman débarquera en septembre sur la catégorie des liégeois (pour faire simple : “Viennois” de Nestlé). Et, ce faisant, élargira encore son emprise sur le rayon ultra-frais.
L’occasion d’une photo de famille avec les yaourts, compotes, crèmes, riz et semoule, entremets, desserts pâtissiers. Peu à peu donc, Bonne Maman devient un “généraliste” du rayon UF à l’image du trio historique : Danone, Yoplait, La Laitière/Lactalis. Alors que – et c’est pas une mince différence – l’origine de la marque n’est pas le lait.
Historiquement, la plupart des marques de la grande conso tirent en effet leur légitimité de leur ancrage produit : le lait pour Yoplait, les biscuits pour Lu, le porc pour Herta ou encore les fruits pour Andros (même propriétaire que Bonne Maman). C’est en ce sens que le cas Bonne Maman est intéressant : après avoir (longtemps) été une signature de confiture, la marque a “tordu” son positionnement pour devenir un synonyme de gourmandise. Ce qui ouvrait grand le champs des possibles. Jusqu’à devenir un généraliste de l’ultra-frais. Cette photo en témoigne.