En 2023, dans le cadre des Ateliers du Vrac (que je co-organise avec Linéaires, Rayon Boissons et Circuits Bio), Woodland Garden avait décroché le “Vrac d’Or” pour cette solution de silos à poche souple. Depuis, elle gagne du terrain en magasins (exemple ici à Leclerc Saint-Lys dans la périphérie toulousaine où j’étais vendredio). L’avantage ? Un vrac plus hygiénique puisque les poches d’origine remplace les silos plastique. En clair, il n’y a pas de manipulation (remplir le silo) et la poche plastique n’est pas remplie mais remplacée lorsqu’elle est vide. Avantage supplémentaire (souvent entendu) : plus besoin de laver les trémies (pour ceux qui le faisaient consciencieusement / je dis ça je dis rien !). Autre élément qui modifie l’impression d’ensemble : l’utilisation du bois en guise d’armature.
Je vais me faire insulter mais… Quand un client se sert et s’aperçoit qu’il s’est trompé de produit ou que le prix est trop cher à la pesée et par conséquence “abandonne” son sachet autour de la balance, on fait quoi du produit? poubelle?
Je cherche toujours le mal avant qu’on ne me le fasse… Est-ce bien prudent, les petites pinces en fer visibles mais surtout accessibles en haut des sacs? Si l’envie me prenait d’y jeter une vieille noisette pas bio, avec beaucoup de gluten et trempée dans de l’huile de palme aromatisée paraben, serait-elle bloquée par le système?
Vous dîtes que le bio provient de Manon, quelles sont vos sources? Celle-ci faut lavoir!
*
Ce petit reportage aurait mérité d’être filmé pour en faciliter la compréhension
O peuchère !
qu’ils remettent dans le sac ou pas vous aurez quand meme les mites alimentaires vendu avec puisqu’elles sont bio 🙂
ps jamais de haine dans mes propos, je suis juste pas un littéraire et je me suis toujours exprimer ainsi ici ou ailleurs. A quoi bon en faire des patés lorsque quelques mots un peu raide font passer le message de façon clair et concises. le blabla c’est pas mon truc.
J’avais bien compris, c’est pour ça que je précisais que ce n’était pas une moquerie.
Ça n’est pas la question d’être littéraire ou pas. Il y a des bavards qui ont besoin de conférencer 15mn pour te demander l’heure (rien de littéraire pour autant). Résultat, plus personne ne les écoute et préfère les éviter. Il y aussi les taiseux; on ne les entend jamais, c’est à peine si on sait ce qu’ils pensent par contre, quand ils s’expriment, tout le monde les écoute, la parole étant d’or! (à condition qu’ils aient un discours intéressant et cohérent). Entre les deux, il y les gens ‘normaux’ qu’on écoute donc naturellement. Je te mets dans cette case. Certains s’expriment plus que d’autres et d’autres plus forts que certains… (j’accélère)… Il y a donc les pas-contents, les gueulards. Ça parle sec, ça dit les choses, ça va droit au but (très bien tout ça, à la base) mais c’est rarement accompagné d’un sourire. Pour faire court, ça fout la mauvaise ambiance quand bien même tu dirais (si tu es responsable d’équipe) “Moi, mes gars, je les tiens!” C’est un peu les tenir par la terreur. Le fouet serait autorisé que tu en demanderais quasiment un de fonction (dit avec humour mais tu vois, je l’espère, ce que je veux dire)
D’où ce que je disais dans l’autre post, tu passes de la Grande Gueule à la Sale Gueule. Du coup, tu t’isoles, on t’évite et quelque part, tu gênes!
Il y aura toujours un nouveau plus haut gradé que toi qui arrivera et, ne te connaissant pas, ne cherchera pas le bon côté de toi mais ne retiendra que le côté sale gueule… Sale gueule dont il aura très envie de se débarrasser (quand bien même tu serais le meilleur boucher de la région, cherche pas, pour moi, tu as une moustache assez fournie, une barbe de 3 jours et tu es boucher!)
Si le sachet est hermétiquement fermé et impossibilité totale de remettre les invendus à l’intérieur, alors là oui je peux commencer à m’y intéresser.
Le hic de tout ça, est-ce économiquement viable ?